Si les miracles n’existent pas, côté beauté, certains traitements s’en approchent définitivement. Dr Hashim, chirurgien plasticien, s’y connaît bien en matière d’esthétique, puisque cela fait partie de sa formation universitaire. Le lifting du visage, l’une de ses spécialités depuis plus de 20 ans, est l’intervention de choix pour ceux et celles qui préfèrent la simplicité et un résultat naturel et optimal et qui veulent vraiment rajeunir.
C’est inévitable, avec l’âge, une descente naturelle du visage se produit. On peut l’observer en regardant des photos, ou encore chez les célébrités qui, comme tout le monde, vieillissent. Cou tombant, apparition de bajoues, pommettes moins saillantes : la gravité fait son effet.
« Au début, on peut cacher quelques signes avec des injectables », dit le Dr Hashim. Ce type de traitement peut par exemple venir combler un creux visible sous l’œil. Mais l’exagération comme les pommettes, les rides d’amertume ou les bajoues donnent un air bizarre et inesthétique qui se remarque facilement. C’est ce qu’on appelle communément en chirurgie les « bobble head » donc un visage qui ne cadre pas avec le reste de la physionomie.
Or, les aiguilles ont leurs limites. « Beaucoup de gens pensent qu’on peut remplacer un facelift par des injectables, alors qu’il s’agit de deux traitements complètement différents. »
C’est pour cette raison que le Dr Hashim recommande la chirurgie, particulièrement après le cap de la mi-quarantaine. « Ça va corriger tous les aspects d’un seul coup, » illustre-t-il. Chaque semaine, ce sont deux à trois liftings, ou encore facelift, que le chirurgien pratique à la clinique de chirurgie plastique de Montréal, où il œuvre depuis 1999. L’intervention consiste à remonter les traits du visage, corriger le cou et redéfinir le contour du visage qui tombent. Le chirurgien estime qu’une simple intervention peut rajeunir le visage de 10 ans. « Le résultat est spectaculaire, et la durée est assez intéressante », explique-t-il.
L’image d’un visage trop tiré, ou peu naturel, vient parfois en tête lorsqu’on mentionne le lifting. Le Dr Hashim se fait rassurant à cet égard. « Ça arrive plus souvent avec les injectables », nuance-t-il. Les visages qui attirent l’attention sont souvent le résultat de plusieurs interventions, incluant des chirurgies et des agents de comblements. « Un facelift qui est bien fait, on ne le remarque pas. On voit quelqu’un qui ne fait pas son âge ».
Autre chose à considérer : la facture augmente rapidement lorsqu’on opte pour les injectables, et les résultats durent moins longtemps.« Les injectables ne corrigent ni le cou, ni les bajoues, » pointe le Dr Hashim. « Un facelift dure à peu près 10 ans. De plus, si on souhaite ensuite recourir à une seconde procédure, une décennie plus tard, celle-ci sera plus minime que la première et on gardera toujours notre air de jeunesse. Cependant les 10 ans que je vous enlève vous ne les récupérerez jamais».
Souvent, les gens choisissent l’alternative la moins invasive selon eux par crainte des incisions et de la désinformation véhiculée par jalousie, l’envie et la plupart du temps par des personnes qui n’ont jamais eu cette chirurgie. Les incisions sont infimes, presque imperceptible et bien camouflée. « De nos jours, la procédure, qui ne dure que quelques heures, peut se faire sous anesthésie locale. La convalescence est également rapide : on est prêt à retourner au travail – ou à la caméra, après 10-15 jours. Souvent avec les injections les patients(es) restent plus longtemps marqués qu’avec un lifting » précise-t-il.
Dr Hashim. Clinique de Chirurgie Plastique de Montréal
En résumé, si votre jupe est trop longue il faut la couper, la repasser ne la raccourcira pas et ne donnera jamais le résultat escompté. Pour la chirurgie c’est la même chose c’est la seule vraie alternative pour avoir un air de jeunesse et mettre votre beauté en valeur.
La chirurgie plastique c’est la chirurgie du bonheur ; de retrouver confiance en soi, que notre visage reflète l’image de notre cœur et notre joie de vivre.
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